De sa petite enfance, Suh In Ah n’en garde pas de souvenir comme beaucoup. Mais pas pour les même raisons que tout le monde. Son trop jeune âge n’a rien à voir avec ça.

Si In Ah avait pu se souvenir, elle vous dirait qu’elle à un jour eut un grand frère et une sœur jumelle. Que cette famille avait tout pour plaire et que bien qu’elle ne resta que quatre ans en leur compagnie et qu’en principe, de zéro à quatre ans on à pas réellement conscience de ce qui nous entoure, elle était heureuse là-bas. Mais elle ne se souvient de rien. Rien, pas la moindre sensation, la moindre image, la moindre odeur. Ni rire, ni pleure, ni couleur, ni goût. Le vide complet.

Ce fut un petit événement, un petit instant de quelques minutes à peine, qui fit table rase complète sur quatre années de début de vie. Quelque chose de tout bête, la promesse d’une mère faite à ses trois enfants, celle de se rendre à l’exposition nocturne à l’aquarium. Une soirée qui aurait du se dérouler sans heurte et peut-être même laisser de jolies images dans les souvenirs d’In Ah.
Mais ce ne fut pas le cas. L’orage, la nuit, le vent c’est sûrement tout à la fois qui se ligua contre eux et qui fit que la voiture de la famille percuta celle venant en face. Le choc assomma partiellement In Ah, qui parvient à s’extraire de la voiture dans un état second. Trop sonnée, trop jeune pour se préoccuper directement de son frère, de sa sœur ou de ses parents, elle fit deux pas supplémentaire sans comprendre où elle était avant de tomber et de dévaler le ravin. Le courant plus bas l’emporta immédiatement, l’éloignant de l’accident pour la déposer quelques minutes plus tard sur une berge en contre bas. Frigorifiée, blessée et inconsciente, ses chances de survit étaient faibles cela va sans dire, surtout à l’âge de quatre ans.

Mais il faut croire que ce n’était pas l’heure d’In Ah ce soir là. Par chance, une route passait à quelques mètres et les feux d’une voiture l’éclaira. La chance ne s’arrête pas là, non. L’homme au volant l’aperçu dans ses vêtements de couleurs vive et s’arrêta. Médecin, il fut capable de lui prodiguer les premiers soins qui la sauvèrent et l’amena jusque l’hôpital.
Mise à part un hématome cérébral, qui fut prit en charge à temps pour éviter des séquelles, la fillette n’avait que quelques blessures superficielles. Mais psychologiquement c’était autre chose. En dehors de son prénom, elle ne se souvenait de rien. Elle semblait aller étrangement bien mais n’était pas capable de dire qui était ses parents, si elle avait une famille, ce qui lui était arrivé… Il fallu qu’un jour ou deux pour faire le lien entre In Ah et l’accident de voiture qui avait causé la mort à sa famille.

Cependant, In Ah fut gardé en observation et si son oncle et sa tante fur prévenu de sa survit, ils ne furent pas autorisés à la voir. A première vu In Ah allait pour le mieux. Calme, posée, peu angoissée… Trop étrangement calme. Après quelques examens supplémentaires, les médecins furent fixés à propos de ce qu’ils redoutaient déjà. L’enfant souffrait d’amnésie.
Mais plus inquiétant encore, c’était ses réactions quand l’encadrement médical tentait de ramener doucement ses souvenirs. Les photos, les prénoms, des objets, des mots même simplement aussi furent employés pour essayer de raviver sa mémoire, de voir où se trouvait le blocage. Mais celui-ci était plus fort que les techniques de médecins. Plus on lui parlait de son passé, plus la fillette se plaignait de maux de crânes. Elle frottait ses yeux, fatiguée, pleurnichant et frottant ses tempes. Après plusieurs essais, le dernier test se conclut par un saignement du nez et un vertige qui manqua de lui faire perdre connaissance.
C’est à ce moment qu’il fut décidé que jusque nouvel ordre, In Ah ne devait pas se rapprocher de son passer. Pas temps qu’elle n’aurait pas surmonté son blocage.

La fillette fut donc prise en charge par le médecin qui l’avait trouvé la nuit de l’accident. Il lui offrit une chambre et s’en occupa avec soin et attention. Sa femme se prit très vite d’affection pour l’enfant, souriante et agréable. Tout allait pour le mieux tant qu’on ne lui parlait pas du passé et qu’on ne cherchait pas à faire en sorte qu’elle se rappelle.
Une fois par mois, elle se rendait chez un psychologue et un pédiatre, qui à eux deux essayaient de voir si le problème persistait. Et c’était le cas. Les même symptômes se déclenchaient à chaque fois qu’elle essayait de se souvenir. Rapidement, afin d’éviter de marquer l’enfant, préférant essayer de laisser le temps faire les choses plutôt que de forcer son inconscient, les visites à l’hopital s’espacèrent. Jusqu’à ce qu’In Ah finisse par réellement vivre chez ses nouveaux parents. Le médecin et sa femme lui donnaient tout l’amour qu’ils avaient même s’ils restaient conscients que si l’enfant retrouvait la mémoire, elle irait rejoindre sa vrai famille.

Mais la famille qui restait à la jeune fille finit par décéder peu de temps après. Sa tante et son oncle, puis ses grands-parents, la laissant sans autre famille que sa jumelle. L’idée d’adopter Jyu Ni, la sœur d’In Ah fut évoquée mais réfutée. Rien que son prénom et ses photos déclenchaient des migraines puissantes, tout le monde craignait que la voir en vrai ne fasse qu’amplifier tout ses symptômes et ne mettent sa santé en danger.

Le médecin et sa femme adoptèrent l’enfant environ deux mois après la disparition des derniers membres de la famille d’In Ah.

Il n’y eut pas vraiment d’événements marquant dans la vie de la jeune fille. Elle grandit, comblée, manquant de rien, ayant tout à sa disposition et étant attentive aux autres comme ses parents lui avaient apprit à l’être. Une fois quand elle avait douze ans, on essaya d’évoquer à nouveau l’accident, lui expliquer qu’elle était adoptée… Le seul résultat en fut une migraine suivit d’une fièvre et de violents haut-le-cœur. Après ça, son adoption devient un sujet tabou.

Cependant, au bout d’un moment, force fut de constater que quelque chose n’allait pas. In Ah oubliait. Un peu tout et rien. Elle pouvait se souvenir d’avoir passé une bonne soirée, d’avoir beaucoup rie avec ses parents ou ses amies… Mais le contenu réel de la soirée lui échappait complètement.
Ce phénomène arrivait quand elle était particulièrement heureuse ou à l’aise avec quelqu’un. Elle le remarqua, mais n’en parla pas. Une petite voix au fond d’elle refusait d’alarmer ses parents ; elle devait être fatiguée, c’est sûrement pour ça qu’elle ne se souvenait pas ou mal.
Jusqu’au jour où, comme on dit. Jusqu’au moment où un matin, une jeune fille vient s’asseoir à côté d’elle, débitant des paroles à propos du week-end… Week-end dont elle ne se souvenait pas. Pas plus que la fille assise à côté d’elle. Rien. Le blanc total.
Comprenant ce qui ce passait, elle se décida à en parler à son père. Après plusieurs tests, un traitement lui fut donné. On lui expliqua qu’une part de son inconscient refusait sûrement de revivre réellement des moments heureux, suite à un traumatisme… Avec son traitement, les médecins avaient bon espoirs que sa mémoire se stabilise. Et ce fut le cas pendant plusieurs années.


Ayant prit goût pour le chant et la musique en générale, In Ah postula à l’âge de seize ans pour pouvoir entrer l’année suivant à K.U.A. Elle réussit avec brio et entra dans la filière de chant. Sa première année fut comme un rêve. Des amis, une bonne ambiance, des cours plus prenants et plus intéressant que jamais. La motivation et la passion d’In Ah ne faisait que grandir de jour en jour. Elle faisait tout de fois attentions à ne pas trop se lier à quelqu’un, craignant plus de perdre à nouveau la mémoire si cela se produisait…
Mais elle fini par laisser ses craintes de côtés, trop curieuse de vivre et de pouvoir être heureuse à cent pour cent avec quelqu’un. Ce quelqu’un, c’était Chang Min. Il était en année supérieur mais ça ne les empêcha pas de faire connaissance, loin de là. Avec lui, elle ne voulait pas garder de distance, quelle qu’elle soit. Elle voulait vraiment être elle et ne pas avoir à s’inquiéter. Elle ne voyait pas comment elle aurait pu oublier une personne qui la fascinait et l’attirait autant. Durant six mois, elle veilla à bien se souvenir de chaque moment passé ensemble. Pour une raison qu’elle ne s’expliquait réellement, elle refusa de parler à Chang Min de ce soucis de mémoire. Elle ne voulait pas l’inquiéter pour rien. Elle voulait vraiment forcer les choses, ne pas laisser sa mémoire lui jouer un mauvais tour. Et plus le temps avançait, plus elle se sentait heureuse et moins elle y pensait.

Ca arriva tout de même. Au moment où il ne fallait pas. Elle se réveilla un matin d’été dans une chambre, seule avec un mal de crâne atroce. Elle ne savait pas où elle était et sa tête était vide. Elle chercha à se souvenir, mais c’était la même chose que se remémorer un rêve qui vous glisse entre les doigts. Vous avez la sensation de la tenir une demi-seconde avant qu’il ne s’évapore sans rien vous laisser. Dans un état presque seconde, elle avait récupéré ses affaires et s’était habillée. Elle choisit de sortir par la fenêtre, ayant entendu du bruit de l’autre côté de la porte et ne se sentant pas la force de chercher à discuter de pourquoi elle était là.

Arrivée chez elle, il ne fallu pas longtemps à sa mère pour soupçonner. Elle la question sur sa soirée et devant l’absence de réponse, elle chercha rapidement à en savoir plus. La gorge nouée, elle trouva vite qu’elle partie d’In Ah était partie au cours de la nuit. Elle qui n’avait toujours de le prénom de Chang Min aux lèvres, elle ne réagissait que par l’interrogative à l’annonce de son prénom. Ne sachant trop quoi faire, elle l’envoya en vacance dès le lendemain. Elle n’espérait pas vraiment que la mémoire de sa fille adoptive lui revient, il n’y avait jamais eut de miracle en quatorze-ans. Elle souhaitait juste offrir une diversion à In Ah et un répit à Chang Min, espérant juste que le temps sans réponse aurait raison de son entêtement à demander des nouvelles d’In Ah.

In Ah revient à la rentré, la tête remplie de souvenirs de vacances passées en Europe. Elle se réjouit à l’idée de retourner à K.U.A, sa seconde maison. Nouvelle année dit nouveau logement et nouveaux colocataires. Pressée elle à hâte de rencontrer de nouvelles têtes. Reste à savoir comment elle fera quand elle comprend que si certaines tête sont nouvelles selon elle, la réciproque est loin d’être vrai.

Moi.. pff rah la question à laquelle j'ai pas envie de répondre à deux heures du matin oo Blast ♥ 20 ans .. ouep l'ai pouri ce chiffre uu Mal de crâne en plus mais ça c'est pas censé faire partie de la présentation ♥ Que dire que dire... Grande fan des After School, c'est pour ça que je joue une SNSD, je sais eoe. Non j'aime vraiment les AS vous pouvez même pas imaginer *O* Mais les SNSD elles ont plus de photos & c'est super drôle à jouer en fait /OUT/

Bon sinon on va surtout pas faire comme Yunfa, j'aime Jang Geun Suk & TOP ♥ & Big Bang et les missA & les T-ara quoi qu'un peu déçue dernièrement. Oui je vous parle que de musique & de K-pop mais j'aime ça eoe
Sinon dans la vrai vie, je suis étudiante en DEUST TMIC (Technicien des Médias Interactifs & Communicants, le truc gavant à écrire à 2h du mat' quoi) et ... je sèche souvent ♥ /VOLCAN/

Je Rp depuis... nançamevieillietropça uu.... Hum... réfléchissons 6 ans environ ? Et je fais en moyenne 600 à 1800 mots. Oui bon c'est de la fourchette large uu En général c'est vers 1000 mots mais ça dépend de beaucoup de choses. Genre plus je suis fatiguée plus le poste est énorme, croyez le ou non.
Voila je m'arrête là pour ce soir je veux me valider é_è