We were "The song’s house"
Je suis née un 5 décembre au sein d’une famille que j’aimais, avec mon frère et mes parents. Nous vivions tous dans une harmonie parfaite. Les voisins nous surnommaient « The Opera » pour la simple et bonne raison que l’on entendait toujours une petite mélodie venant de celle-ci.
Mon père jouait du piano, ma mère du violon, mon frère lui apprenait la guitare et savait chanter. Quant-à moi j’apprenais le chant et le piano.
Chaque soir nous répétions. Et le premier samedi de chaque mois nous présentons au quartier « notre » talent.
Mon père m’a toujours appris que lorsqu’une famille s’aime vraiment elle ne fait qu’un, chaque mouvement, même qu’il soit différent, sont accrochés par un fil transparent. J’aimais entendre ces métaphores. Mon géniteur était écrivain, tous ses livres je les ai lu, ou il me les a lu. Je les aimais tant, je les aime tant.
A l’école j’étais travailleuse, les professeurs me qualifier comme étant une élève modèle. Je vous avouerais que j’ai toujours eu de la facilité à apprendre, pourtant, ce n’est pas ça qui m’a aidait à intégrer les écoles. Combien de fois j’ai changeais d’établissement combien de fois ça à était la même histoire : « Votre fille est toujours toute seule dans son coin. » « Elle ne parle jamais à ses camarades » « Votre fille n’a aucun ami »…
Je n’aimais pas le contacte, contrairement à maintenant.
Separated by fire
Un soir, alors que toute la maison dormait, à l’extérieur vadrouillé une voiture. Elle tournait autour de la maison, elle me réveilla. Lorsque je regardai par la fenêtre de ma chambre qui se trouvait à l’étage j’aperçu cinq hommes sortir de la voiture. Ils entrèrent dans la maison, on entendit un carreau se briser. Mes parents dormaient encore, mon frère aussi. J’avais peur, je courus vers la salle de bain pour me cacher. Cette nuit là, je m’en souviendrais tous le temps. Les pas qui traversaient la maison. J’entendais mes parents se lever, ils couraient et criaient, ils me cherchaient :
« Yung Soon ! YUNG SOON. »
J’essayais de me lever de la baignoire, mais je glissa, ma tête se cogna contre le rebord, je ne sentais plus rien, c’était le noir, le néant.
Tout le monde était descendu à l’extérieur. La maison était en flamme, mon corps restait immobile sur le sol. Je n’entendais rien, je ne sentais rien… C’était la fin…
Mon frère inconscient courut dans la maison, il rentra alors que la maison était en flamme, il me chercha. En montant les escaliers il chuta, pourtant, il se releva et chercha dans les chambres, la salle de bain. Il me vit inerte sur le sol. Il n’était pas très musclé, pourtant il arriva à ma porter. Il avait le regard perdu dans les flammes qui grandissait.
Il vit les escaliers, il y courut. Malheureusement, le malheur arriva. Moi dans ses bras, il commença à les descendre, là une poutre était en train de tomber, il me lança sur le sol. Il savait qu’il allait me blesser, mais c’était le seul moyen pour me sauver.
Son corps fut écrasé par la poutre en flamme.
Mon corps lui fut retrouvé par les pompiers, juste à temps.
La maison qui était avant si joyeuse, devint rapidement une maison triste, avec un silence intense. La musique n’existait plus dans cette maison, elle n’existait plus au sein de la famille.
J’essayais de refaire jouer mon père, mais il me rejetait à chaque fois. Mes parents ne me voyaient plus comme un cadeau, pour eux, j’étais celle qui avait causé la mort de mon grand frère, lui qui m’avait sauvé.
The wheel spins, but not the feelings ...
Aujourd’hui j’ai dix-huit ans, je suis différente d’avant, mon caractère est différent, mon style aussi. Pourtant, ma passion, elle, ne change pas.
Je ne suis plus chez mes parents, ils m’ont mis en pensionnat, ne pouvant plus supporter « l’assassin » de leur fils. Je m’y suis fait, même si au fond de moi j’ai encore la plait de cette blessure encore ouverte.
Quand j’ai été mis en pension j’ai vu la vie autrement, j’ai commencé à aimer le contacte avec les personnes extérieur, à côtoyer des personnes de sexe différent.
Aujourd’hui, je suis devenu beaucoup plus sociable. J’ose parler, exposer mes points de vu.
Ayant toujours aimé le chant, je n’ai jamais eu de vrai problème avec ça, par contre, j’ai toujours voulu savoir danser, malheureusement c’est l’un de mes points faible, peut-être me manque-t-il de l’entrainement ? Je ne sais pas. J’espère juste y arriver.
Je ne suis jamais tombé amoureuse, d’ailleurs, je ne sais pas ce que c’est. On m’a souvent dit que quand l’on était amoureux on avait le cœur qui battait fort, on avait chaud et lorsque celui que l’on aime n’est pas loin de nous on est dans tous nos états. Enfin, ce n’est que des paroles, est-ce vrai ?
The entry for my new life ;
Aujourd’hui, je suis à la « Korea University of Art ». J’ai été accepté il y a quelques semaine de ça. Mes parents avait accepté de payer mon entrée dans cette université car ils savaient que c’est ce qu’aurait voulut mon frère. J’étais en train de réaliser mon rêve, devenir une chanteuse professionnelle !