VJe suis née le jour de la fête nationale française et ma mère à failli mourir durant l’accouchement. Enfance perturbée avec les flics souvent à la maison pour diverses affaires, je savais déjà ou et comment je finirais, j’étais enfant unique, pas très sage et peu respectueuse de celle qui était pourtant la douceur même, mais nous nous ressemblions pas, j’étais un peu hyper active très bavarde et déjà dominatrice, j’étais le petit démon de ma classe. L’adolescence me posa quelques soucis, je devenais une femme, mais mon caractère avait le dessus, je frappais une fille de ma classe car son père était un des flics toujours sur le dos du miens. J’avais profité d’une douche pour le faire je lui avais attrapé les cheveux pour lui claquer la tête dans le mur et lui mettre un ou deux coup de pieds dans le ventre avant qu’une des profs soit avertie par une des balances une sale petite intellos de merde ! Je ne fus pas punie chez moi mais l’école me renvoya. En rentrant dans la nouvelle école, je fis connaissance de celui qui allait être ma première fois deux ans plus tard, j’avais quinze ans, il se nommait et merde, je ne me souvient plus de son nom … Pas grave car je connu une demoiselle et en internat toutes les deux nous avions passé une nuit de folie au lit, un peu imbibée d’alcool et un joint nous y avait aidées. Je découvris ma bisexualité, je m’amusais un peu avec les deux sexes jusqu’à ce que je tombe enceinte à dix neuf ans, le type dont j’étais amoureuse n’avais pas mis de préservatif et plus tard nous découvrions que j’étais enceinte. Paniqué le père de notre enfant, disparu du jour au lendemain et dire que j‘avais envie de me marier avec lui... J’avais pris la décision de l’élever seule, j’avais presque arrêté les conneries et avais poursuivi mes études que j’allais finir deux ans plus tard. Malheureusement un chauffard en décida autrement, j’étais enceinte de six mois quand j’eus un accident de la route, un homme d’une trentaine d’années qui était devant moi percuta une voiture qui venait de sans doute tomber en panne, voyant l’accident, je freinais et donnais un brusque coup de volant, ce fut là une belle erreur, en effet ma voiture dérapa et d’après ce qu’on m’a dit j’ai fait deux tonneaux … Je ne me souviens plus de rien, tout ce que je revois, c’est quand je donne le coup de volant et puis plus rien … Le néant, le vide total … Je me suis réveillée à l’hôpital avec plusieurs fractures dont une à la mâchoire et une jambe dans le plâtre, je demandais vite des nouvelles du bébé mais l’infirmière ne voulu pas me répondre ! Elle appela le médecin qui m’annonça la mauvaise nouvelle, j’avais perdu mon enfant ! J’hurlais ma douleur autant que je pouvais, je voulais être maman et en quelques minutes à cause d’un stupide accident de voiture j’avais plus rien. Je finissais mes études tant bien que mal, mais je ne voulais plus vivre à Tokyo à chaque fois je pensais à cet enfant mon enfant …

J’avais une tante à Séoul, une des sœurs de mon père pour être précise, qui acceptait de m’héberger quelques temps, afin de me reconstruire un peu et surtout de terminer mes études. Dans les premiers temps, j’écumais plus les boites de nuit, histoire de m’amuser de perdre la tête et passer de folles nuits. C’était comme une renaissance pour moi. Je flirtais avec plus de femmes que d’hommes, sans doutes par peur de retomber enceinte et de revivre à nouveau le drame que j’avais encouru. J’allumais les mecs et au moment fatidique, je me sauvais. Souvent je me faisais traiter de salope ou d’allumeuse, qu’importe plus jamais je ne veux faire mourir un être en moi. J’ai tiré un trait définitif avec les hommes au lit. Je voulais reprendre mes études en droit, je m’inscrivais finalement dans une belle école, ce que je fis dès que je le pus c’est-à-dire à la fin de l’année dernière. Très vite on me dirigea vers une chambre avec d’autres filles au même caractère que moi car je devais absolument loger à l’université. C’est ainsi qu’une nouvelle vie commença pour moi.. Je prenais mes marques là bas en faisant un peu ma loi, draguant tout ce que je pouvais, je chantais sur tout avec le rêve ultime, de devenir une des vocalistes d’un groupe célèbre et quand j’aurai plus d’expérience pourquoi pas leur prof de chant. Mais je voulais pas avouer ces rêves à personnes, c’était mon petit jardin secret à moi rien qu’à moi.

je sais pas quoi dire hormis que je suis un ( et oui c'est un homme là ) Blackjack et un Sone qui se présente à vous. Sur le net je nomme Aibaka ou Aibaka29 des fois, j'ai 29 ans et je vis entre la Belgique et Paris ou je vais m'installer définitivement.

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