Né d'une famille aisée du compté de Séoul, Park Ji Hyun vit le jour un certain deux Août 1988 aux alentours des deux heures du matin dans un hôpital de la capitale. Sa mère et son père étaient plus que soulagés de savoir que leur très cher petit allait pouvoir vivre la belle destiné qu'ils avaient programmé pour lui. En effet, cela faisait neuf mois que madame Park le portait, et comme à chaque grossesse, il était incertain que l'enfant survive à l'accouchement à la fin du neuvième mois. Bien heureusement, la vit était accordée à Ji Hyun. Pleurant dans les bras de sa mère, ça ne changea pas tellement au fil des années. Pourquoi ? Il était capricieux le môme ? Non pas tant que ça. Étant un fils à papa et pouvant recevoir ce qu'il désirait juste en claquant des doigts, déjà de un, c'était pas donné à tout le monde de pouvoir vivre dans de telles conditions et de deux, au moins, il ne manquait de rien. Le plus étrange, c'est que ses parents lui offrait toujours de nouvelles choses, toutes plus couteuses les unes que les autres, mais aussi plus originales, et pourtant, lui n'utilisait que ses vieux jouer, les bas de gammes, les banales. Peu de temps après, on put noter que l'amour que portait Mr et Mrs Park envers leur enfant s'était quelque peu estompé, et Ji Hyun apprit assez rapidement que quelque chose clochait. Ses parents se demandèrent même pendant un temps si c'était bien un des leurs. Oui parce qu'il ne faut pas croire que la famille Park dans son ensemble était et est une famille comme les autres. Non! Loin de là. Depuis déjà des décennies on peut voir cette "communauté bourges" s'accroitre et sombrer encore plus dans leur folie de supériorité. La bourgeoisie dans toute sa splendeur. Employant toujours des manières hautaines, ne voulant pas se mélanger à la foule car apparemment ce qu'il y aurait dedans ce ne serai que des "êtres inférieures à leur race" et en plus de ça, ils traitent les personnes normales comme de pauvres insectes ... Que dire de plus ? Le dégout devrait déjà être présent. Donc, revenons à nos moutons, le fait que Ji Hyun ne soit pas comme eux pourrait être le déclencheur de ce recul. Oui, fort possible... Avec le temps, ils devinrent encore plus froids, plus sévères, ils allèrent même jusqu'à imposer une grande distance entre eux et leur fils. Il n'était plus d'aucune importance. Alors certes, ils le nourrissait, le logeait, l'emmenait chaque matin à l'école, mais il n'y avait aucune présence d'affection. Comment voulez-vous qu'un petit soit joyeux s'il ne reçoit pas l'amour qu'un père ou d'une mère doit procurer ? Cela affecta bien sûr, ses notes, son humeur mais aussi sa personnalité. C'est à cette période là qu'il aperçut qu'il était doué pour le théâtre. Au début, c'était impossible pour lui de retenir la tristesse qu'il avait en lui. Impossible de retenir la colère qu'il avait envers ses tuteurs. Jusqu'au moment où il fut convoqué chez la directrice de son école publique pour "parler". Elle suspectait quelque chose depuis un certain temps. Elle notait notamment les baisses de résultats, le fait qu'il ne fasse quasiment plus ses devoirs, mais ce qui attira encore plus son attention, c'était son changement d'attitude. Il lui arrivait de répondre aux professeurs, de ne pas vouloir faire ses contrôles, ou encore de provoquer ses camarades. Ce n'était pas Ji Hyun dans ce corps. Non. Ji Hyun est quelqu'un qui ferait passer le bonheur des autres avant le sien. Il est le gentil garçon qui protège tout le monde et veut le bien de tout. Ne voulant plus que la dirigeante remarque les problèmes qu'il avait dans sa vie familiale, au début, il jouait la comédie chaque jour en arrivant jusqu'à ce que ce soit l'heure de rentrer. Mais après ce fut continuellement. Il souriait, dansait, chanter, recommençait à faire ses devoirs. Sa vie reprenait son cour. Il s'était mis à faire du théâtre deux fois par semaine dans un petit établissement où plus tard il aura grande réputation grâce à son talent.

On était le onze Février 2008. Neuf années avait passées. J'avais à présent dix neuf ans et entre temps, deux nouveaux Park étaient venus s'ajouter à l'arbre généalogique. Un premier, prénommé Ki Sang, et le second, Chun Yong. Les infos de vingt heures passaient à la télé. Un jeune homme avait apparemment trouvé la mort dans un ravin... Voici bien une chose qui m'a toujours et me fais toujours d'ailleurs peur. La mort. Sachez que je suis une personne très sensible. Je m'accroche aux gens comme un nourrisson à sa sucette. D'un côté c’est une bonne chose mais d'un autre, ça ne l'est pas. Et si quelque chose arrivé à mes proches ? Je n'imagine même pas mon avenir, ma vie sans eux. Certes, j'ai toujours joué la comédie avec eux, mais que voulez-vous. On s'attache quand même... J'ai déjà perdu bien des années avec mon premier petit frère, alors si je devais tout réparer entre lui et moi, mais en plus avec un compte à rebours sur la conscience heu... Oui. J'ai vraiment fais l'abruti. La famille c'est sacrée comme on dit, et je n'ai pas respecté ça. J'ai vraiment réalisé la bêtise que j'avais faite vers mes dix sept ans. A la fin de l'adolescence quoi. Quand on dit que c'est vraiment l'âge c**, ce n'est pas moi qui dirai le contraire. Mais... sincèrement. A partir de cet âge là, j'ai vraiment ressentis ce profond remord. Pourquoi l'ai-je mis de côté. Il n'avait pourtant rien fait. Enfin à l'époque mes parents étaient constamment sur mon dos donc je m'en prenais un peu à tout le monde, dont mon frère. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai eu ce besoin de me rattraper, et puisque les approches que je faisais à Ki Sang n'aboutissait à rien, j'étais aux petits soins de Chun Yong. Bien sûr, je savais parfaitement que d'un côté je le blesserai encore plus.. mais que voulait-il. Je n'allais quand même pas attendre patiemment dans mon coin qu'il accepte mes excuses et que je mette une seconde fois un de mes frères au placard. C'était juste insensé... Pour en revenir à ma situation avec mes parents, j'avais beau être un excellent élève, rentrer avec des résultats exemplaire, adopter une attitude très positive pendant les heures de cours et faire toujours le travail qu'il m'était demandé de faire, malgré tout ça, ils trouvaient quand même quelque chose à redire. Selon eux, j'étais quelqu'un de trop "faible". J'avoue que je suis sensible, j'avoue que je suis doté d'une personnalité légèrement effacée, j'avoue que des fois je me fais marcher sur les pieds, j'avoue être très protecteur, mais de là à me traiter de faible, et par ses propres parents en plus! Il y avait une limite à ne pas dépasser. Je ne suis pas quelqu'un qui perdrait son temps avec des gamineries de ce genre. La provocation, très peu pour moi. Alors s'ils espéraient que je réagisse comme un taureau dans une arène lorsqu'on me taquinait, ils pouvaient laisser tomber. Adulte je suis. Et puis, n'oublions pas que j'avais fait du théâtre pendant bien des années, donc jouer la comédie une fois de plus dans ce genre de situation, c'était franchement pas grand chose. En parlant de ça, il fallait peu être que je révise une petite dernière fois. Je vous explique, nous étions bien un onze Février, et il se trouve que dans la capitale, de Séoul donc, le douze, il y avait les examens d'entrées de la prestigieuse école d'art KUA, ou Korea University of art. Et j'avais prit la décision de tenté ma chance dans une épreuve d'art dramatique. Après, soit ça passait, soit ça cassait, mais j'étais si prés du but, si prés de réaliser mon rêve, que rien ne pouvait m'arrêter moralement.

« HYUNNNN! Un courrier pour toi! » ; « De la part de qui ? » ; « KUA ça te dit quelque chose ? ». Après avoir lancé une bien étrange grimasse, je m'élançais dans le couloir de notre petit appart', et je saisis d'un geste sèche la lettre que tendait eom-ma.
« Bien le bonsoir Monsieur Park,
Je me présente, je suis le directeur de l'établissement KUA, Monsieur Park. Je vous envoie cette lettre pour vous dire que vous avez bien été admis et que vous recevrez comme prévu votre enseignement dès la semaine prochaine. Videz vous la tête de tous vos ennuis, et serrez fort vos proches car vous n'aurez plus la possibilité de faire de telles choses à votre arrivé. Enfin si, mais sous différent angles. Hum. N'oubliez pas d’emmener des affaires aussi.
Bien cordialement.

Mr Park, Korea University of Art.».

Je ne doute absolument pas du fait que mes parents et mes frères ont du se demander pourquoi je hurlais et courrais dans toute la maison... mais en tout cas, c'était bien réel. J'allais enfin pouvoir avoir droit à des cours digne de ce nom.

Aujourd'hui, je suis en quatrième année, l'avant dernière. Dire que dans deux ans, je devrais faire mes adieux à ce lieu si magique, ce lieu que j'ai appris à aimer, ce lieu qui me rend si joyeux. Quand je suis ici, j’oublie tous mes soucis, je me sens moi et pas quelqu'un d'autre, pas le personnage que j'ai joué pendant des années. Les objectifs de cette année : Profiter à fond et toujours m'améliorer dans l'art théâtrale. Ah, et recoller les morceaux éparpillés avec Ki Sang. Ce serai vraiment merveilleux...

A-yo .~ mina ! - C'est mon expression è__é - Je m'appelle Marie Paulette j'ai 134 ans, je vis dans une grotte sous terre où je me nourri exclusivement d’insectes et je suis abonné à Skiraise un magazine qui parle de Ski et de Fraise. XDDD Incroyable n'est-ce pas ? Ah, j'ai oublié de préciser que c'était une de mes blagues pourries *sors*. Donc, je m'appelle Jaemiah ou Mathilde pour les intimes, mais vous pouvez m’appeler tout simplement Jae. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple XD. J'ai 14 ans à ce jour, oui je me fais vieille *ou pas*. J'aime passer du temps avec mes amis, coder, grapher, la musique, les animaux et faire des rps sur de multiples forums. Mais vous devez juste retenir trois choses sur moi. Les essentielles quoi. n°1 → I Japon ; n°2 → I Corée ; et n°3 → I me SHINee. Alors, autant vous dire maintenant que moi et les smileys ça fait zero donc attention, vous risquez d'en voir beaucoup... Ah et je suis synesthésiste aussi Oo.

Scénario [ ✓ ]
Code Règlement Code ok