On dit souvent que les actes que nous faisons au cours de notre vie ont plus ou moins d’impact sur notre vie et sur celle de nos proches. Dong Wook fait parti de ceux qui vous diront que cette expression est véridique, que chaque mot, chaque geste, chaque expression peut avoir une incidence sur le cours de la vie qu’on le souhaite ou pas. Pour lui la conséquence des actes qu’il avait fait ou non commis, ce trouvait être cette petit tête ange qui le regardait en sirotant son biberon comme s’il lui demandait qu’est ce qui lui voulait. Ce petit être qui se tenait dans ce berceau au dessus duquel, celui-ci l’admirer remettant correctement le bavoir pour qu’il ne se salisse pas, se trouvait être son fils. Une arrivée qui s’était trouvée être bouleversante dans le rythme de sa vie pour diverses raisons. Une venue qui pouvait s’assimiler à plusieurs choses : pour certains celui-ci représentait un accident fort regrettable et pour d’autres, c’était la plus belle chose qui aurait pu leur arriver. La façon de voir la chose dépendait du point de vue dans lequel on se plaçait et à vrai dire même à l’heure actuelle, Dong Wook était sincèrement incapable de donner son point de vue sur la question. Certes, il aimait profondément ce petit bout d’ange qui n’arrêtait jamais de sourire de toutes ses dents, de gazouiller, voir de réclamer des câlins à longueur de journée mais sa venue n’avait pas apporté son lot de bonheur. Par sa seule existence, ce petit être avait remit en question toute sa vie, tous ses principes et même son équilibre mental. En l’espace de quelques mois qui avait séparé sa conception et celle de son arrivée en ce bas monde, tant de choses avaient changées. Peut être trop pour le jeune homme qui avait encore du mal à remonter à la surface risquant à tout instant de boire la tasse.

Jusqu’à ce jour où il avait apprit l’arrivée immanente de cet enfant, la vie du jeune homme avait tout simplement été parfaite. Issu de l’union de ses deux géniteurs, il avait vécu sa vie dans la joie et la bonne humeur. Son père, directeur général d’une boite multinationale pour laquelle il se tuait à la tâche était constamment en voyage mais cela ne l’empêchait pas d’être présent pour ses deux fils. Après tout, il était de notoriété publique que les fils étaient bien plus indépendant rapidement que les filles et la providence semblait être avec lui car il avait eu des vrais jumeaux, qui semblaient n’avoir besoin que de l’un de l’autre pour survivre, heureux. Sa mère quant à elle était femme au foyer et constituait à elle seule, le noyau central de cette famille si heureuse. Pianiste de formation, elle donnait des cours particuliers à qui le souhaitait sans pour autant mettre de côté le bien être de ses enfants. Une mère dont il était terriblement proche puisque c’était elle qui lui avait communiqué sa passion pour la musique et le chant dès son plus jeune âge. Il se souvenait avec délices de ses instants ou depuis son parc à jouer, il arrêtait de jouer avec son frère pour écouter sagement sa mère jouer du piano ou donner un cours. Il se rappelait parfaitement de cette euphorie qui avait transcendée son âme lorsqu’il avait touché pour la première fois les touches du piano assit sur les jambes de sa mère qui semblait avoir comprise qu’il allait finir comme elle. C’est peut être leur amour fusionnel pour la musique qui avait fait qu’ils s’entendaient si bien tous les deux, même à l’heure actuelle et après toute cette histoire.

Dès leur plus jeune âge, leur mère avait fait en sorte de leur laisser une totale liberté dans le choix, le chemin qu’ils souhaitaient empruntés dans leur vie, se contentant seulement de les soutenir et de se montrer présente. C’est ainsi qu’elle avait laissée, le jeune homme se passionnait pour l’instrument qu’elle-même chérissait, lui laissant même ouvrir ses horizons musicales à la guitare, à la basse ou la batterie au cours de son adolescence. Une liberté qu’elle laissa également à Ho Young, le frère jumeau du jeune homme, qui quant à lui était passionné par la danse, tout d’abord classique pour apprendre les bases avant de s’ouvrir à la danse contemporaine voir de rue. Se spécialisant dans deux domaines différents mais coexistant, les jumeaux s’entendaient comme les dix doigts de la main, le duo d’ « inséparable » fut rapidement le surnom que tout le monde leur attribuait alors qu’ils passaient toutes leur journées à se perfectionner. Pendant de longues années, les années des jeunes hommes furent ponctuées par la musique, tentant d’initier son image contraire à son art pour être encore plus complémentaires. A cet époque, ils étaient persuadés que rien au monde ne parviendrait à les séparer, à faire en sorte de couper cet invisible lien qui les liées l’un à l’autre…Et pourtant, désormais c’était le cas. Aux yeux de Dong Wook, Ho Young ne représentait plus rient, refusant lui attribuer le doux nom de frère, ce titre auquel le jeune homme pouvait prétendre.

Comment en étaient-ils arrivés à cela ? Difficile à dire et lui-même ne pouvait pas expliquer quel avait été le moment où tout cela avait commencé…Il savait juste que cela avait fini par arrivé. Tout avait commencé lorsque obnubilé par leur passion, ils s’étaient crées des connaissances et amis différents. Tandis que Dong Wook créait son propre groupe de rock, prenant à cet instant des cours de chant, se passionnant également pour cet art, son frère quant à lui avait décidé de créer un groupe de danseur de rues, mettant de côté tout se qui se rattachait au reste. La rupture entre les deux univers, entre les deux jeunes avaient surement due à cet instant. Alors que Dong Wook tentait de lier, cours, chant et pratique de son piano, Ho Young préférait mettre de côté ses cours, les séchant pour s’entrainer d’arrache pied avec son groupe sur les terrains de basket de la ville. Encore à cette époque, tous les deux visés qu’une seule chose : La K.U.A. et ils étaient déterminés à accomplir leur rêve, bien que les relations devenaient de plus en plus conflictuelles au sein de leur duo. Perfectionniste dans l’âme et quelque peu inquiet de l’avenir de son frère, il se faisait des soucis pour lui. Il tentait en vain de lui faire comprendre qu’il ne devait pas mettre de côté les cours, que même si cela ne représentait pas vraiment un critère de sélection, son assiduité et ses notes allaient tout de même comptés dans le choix final. Le seul résultat qu’il obtenait à chaque fois c’était qu’il devrait s’occuper de ses affaires et de préoccuper que de lui, ce qu’il fit au bout d’un moment lorsqu’il comprit véritablement que Ho Young n’en faisait qu’à sa tête malgré les conseils et remontrances de leurs géniteurs.

Quant à lui, il poursuivait son apprentissage, sa pratique avec son noyau d’amis composés essentiellement de jeunes filles qui semblaient souvent voir en lui, l’image parfaite de son frère jumeau. Il faut dire que Ho Young était tellement séducteur, si éblouissant et nombriliste qu’il avait la plupart des filles à ses pieds mais qu’il traitait avec un désintéressement total. Dong Wook représentait tout à leurs yeux, le gentil Ho Young, celui qu’elles pouvaient prendre dans leur bras pour venir panser les blessures que l’autre avait causés. Dans ce lot de jeunes filles, il y avait Sun Hee, une de ses amies follement éprise du jeune Ho Young depuis sa plus tendre enfance, qui se trouvait être une des membres de son groupe. Une amitié sincère quoiqu’un peu conflictuelle due à leurs caractères assez trempés et perfectionnistes, s’étant liée entre eux au fil des années, il pouvait même la considérer comme sa meilleure amie. Bien qu’il ne puisse pas comprendre ce qu’elle pouvait trouver à son frère de si spécial, il ne disait mot se contentant seulement de la laisser pleurer sur son épaule lorsqu’elle se prenait des vents de la part de l’objet de ses pensées, comme devait le faire un ami. Il tenait énormément à elle, elle faisait partie de son univers et une certaine animosité vis-à-vis de son propre jumeau commença à naitre au fond de lui. Certains disaient qu’il était jaloux de la popularité de son double, voir qu’il réagissait ainsi car il était amoureux de Sun Hee, mais si seulement ils savaient comme ils étaient loin du compte. Ce qui l’énervait réellement, c’était que Ho Young joue ainsi avec la jeune fille, la laissant venir à lui pour le repousser, comme un chat qui s’amuse avec une petite souris en attendant d’en faire son repas. A vrai dire ce comportement tapait sérieusement sur les nerfs du jeune homme alors lorsqu’il avait découvert que la jeune fille en question était en réalité la « sex friend » de son frère….il devait reconnaitre qu’il avait failli toucher deux mots à son frère. Sun Hee était à ses yeux tel un membre de sa famille, une personne pour qui il avait une affection réelle sans avoir aucune connotation sexuelle, et savoir que son double, la moitié de lui-même, jouait ainsi avec les sentiments de celle-ci, cela l’irritait profondément alors qu’il ne pouvait s’empêcher de traiter son amie d’idiote et d’aveugle.

Puis comme si cela ne suffisait pas, quelques mois après cette curieuse découverte où il avait tenté de raisonner son amie en vain, celle-ci lui avoua qu’elle était tombée enceinte…mais pas de n’importe qui : de son frère qui selon les dire de celle-ci lui demandait d’avorter jugeant sa responsabilité nulle et la laissant se démerder avec ce « problème ». Autant dire que la seule chose qui l’avait retenu jusqu’alors d’exploser, de remettre les pendules à l’heure, s’était brisée en mil morceau laissant derrière elle qu’une forte amertume. Après une houleuse discussion qui s’était finie en bagarre dans l’enceinte de la maison familiale, Dong Wook avait juré qu’à partir de ce jour, il ne représentait plus rien à ses yeux et que s’il n’était pas capable de prendre les responsabilités de ses actes, il allait le faire à sa place mais qu’il ne voulait plus jamais qu’il foute un pied dans cette maison. « Prends tes affaires et dégages de la maison, Ho Young… Sinon je n’hésiterais pas à dire à maman et à papa, la merde dans laquelle tu as foutu Sun Hee parce que tu es trop con pour t’occuper d’une autre personne que toi…Tu sais d’avance qu’ils te diront d’assumer tes actes et de te marier avec elle sur le champ…Pars où tu veux mais déguerpis. » Furent les derniers mots qu’il adressait à son frère alors qu’il se rendait chez son amie pour assumer les actes de son frère à sa place. Etre une femme enceinte à a peine dix-sept ans, c’était déjà assez éprouvant socialement parlant alors si en plus elle devenait une mère célibataire, il n’osait à peine imaginer quelles allaient être les rumeurs qui allaient être colportés sur son dos. C’est ainsi en secret qu’il était devenu le petit ami officiel de la jeune fille, le père de l’enfant que celle-ci portait en ayant plus ou moins conscience de ce que tout allait impliquer pour la suite. Après de longues conversations avec leurs géniteurs mutuels, les deux familles décidèrent de les aider dans cette histoire, de leur permettre de poursuivre leur scolarité comme si rien n’était.

Ho Young ayant eu trop peur que Dong Wook vende la mèche avait prétendu vouloir faire ses études à l’étranger chez l’un de leur oncle qui s’était établit à New York, chez lequel il parti une semaine après cette conversation houleuse, qui avait laissé une profonde froideur entre les deux êtres. Dong Wook ne voulait plus en entendre parler et aux yeux cette réaction était une manière dissimulée de dire qu’il était encore jaloux de son double. La reprise des cours à la suite de l’annonce de la grossesse de son amie fut plus ou moins difficile, ils eurent droit à des conférences sur les protections sexuelles, faisant d’eux les exemples à ne pas suivre si ils souhaitaient vraiment poursuivre leurs études. Contrairement à lui qui était un roc, son amie quant à elle souffrait horriblement de la situation, haïssant même ses parents qui se montrait pourtant bienveillant et compréhensible en passant par lui-même qui représentait à ses yeux, le double de l’être qui avait fait de sa vie, un enfer. En étant de dépression, elle se renferma sur elle-même et après quelques mois refusa tout simplement de sortir de chez elle, faisant un blocage psychique sur le monde extérieur. Voguant entre deux rives sans vraiment définir celle où elle désirait accoster, elle pouvait être un jour, heureuse, impatiente d’avoir son enfant, encourageant le jeune homme à se présenter à cette audition sur laquelle il avait basé sa vie tout entière, et d’autre fois tout le contraire. Bien que cela pouvait se révélait être fatiguant pour quiconque, le jeune homme s’accoutumait à la situation et faisait en sorte de lui rendre le sourire comme il avait toujours su le faire.

C’est ainsi que se déroula les mois durant lesquels ce petit ange qui se trouvait sous ses yeux avait grandi peu à peu dans le ventre de sa mère. Le prenant dans ses bras alors qu’il réclamait de l’affection, il lui baissa tendrement le front alors qu’il lui essuyait les quelques traces du lait qu’il avait laissé tomber sur son visage. Pour remonter le moral de son amie, pour lui faire comprendre qu’en aucun cas sa vie n’était terminée, il lui avait composé un morceau avec son instrument de prédilection, le piano. Un morceau rempli d’espoir appuyé par des paroles qu’il avait lui-même écrit et qu’il comptait lui ouvrir pour la naissance de leur enfant, qui était prévue quelques semaines après son audition pour la K.U.A. qui arrivait d’ailleurs à grand pas. Voguant entre les cours, sa petite amie enceinte et ses entrainements, les semaines qui précédèrent cette fameuse audition avait été fortement épuisant psychologiquement mais il voulait croire en ses rêves. Il voulait y parvenir pour que le sens profond de son message atteigne le cœur de son amie qui pensait déjà que sa vie était fichue. Il voulait qu’elle sache que quoiqu’il arrivait, si elle se donnait les moyens elle pouvait tout accomplir, avec ou sans enfant. Cependant et malheureusement, la jeune fille n’eut jamais l’occasion d’entendre le morceau qu’il avait expressément composé pour elle parce que quelques jours avant cette fameuse audition, elle décéda à la suite d’un long et douloureux accouchement. Jusqu’au bout, le jeune homme avait tenté en vain de lui murmurer de s’accrocher, qu’elle pouvait y arriver, qu’elle était forte et qu’après cela, elle n’en finirait que plus digne. Serrant cette fine main, il l’intimait à la serrer fortement quitte à lui brisait les doigts si elle le souhaitait alors qu’elle lui disait d’arrêter de faire l’idiot car il devait bientôt passer son audition. Même à cet instant, ils ne pouvaient pas s’empêcher de plaisanter, de se tirer gentiment dans les pattes mais ce court instant de complicité extrême fut de courte durée car on l’intima à quitter la pièce alors qu’une complication semblait faire son apparition. Durant de longues heures, il resta donc dans les couloirs de la clinique se mordant les sangs avec l’ensemble de la famille qui s’était réunie autour de lui attendant avec une patience quasi irréelle des nouvelles. Au final, il n’était plus vraiment sur d’avoir voulu celles-ci fut la teneur de celle-ci et la façon quasi-inhumaine dans laquelle celles-ci furent prononcées. « Nous sommes désolés, nous avons fait tout notre possible mais nous n’avons pu sauver que l’enfant, un petit garçon. » furent les seuls mots qu’ils eurent comme explications si ce n’est que la jeune femme avait fait une hémorragie interne ce qui avait entrainé tout un tas de conséquences sur son corps, dans un vocabulaire bien trop complexe pour qu’il ait pu tout retenir.

Le plus important qu’il devait retenir c’était que la mère de l’enfant de son frère, qui allait donc être officiellement désormais le sien, venait de perdre la vie mettant un terme à tous les projets d’avenirs qu’il avait tenté de prévoir pour donner une raison à son amie de croire à l’avenir et que tout allait finir par s’arranger. Il fut évidant qu’après de telles nouvelles, le jeune homme ne se rendit pas aux auditions, préférant se concentrer sur les papiers officiels d’immatriculation de l’enfant qu’il nomma Ki Suk comme le souhaitait Sun Hee et les préparatifs des funérailles de celle-ci. Finalement, il joua ce morceau sur l’orgue de l’église, lors de la célébration faites à l’hommage de celle-ci comme un dernier adieu. L’année qui suivit fut semblable aux longs mois durant lesquels il avait attendu la venue de cet enfant. Ne pouvant pas entrer à la K.U.A, cette année là, il préféra mettre un point d’honneur à prendre soin de son enfant, de son fils pour qui il ressentait une affection très forte…oui celle d’un père. Il voulait faire en sorte de construire pour lui, un petit monde dans lequel il pourrait évoluer et se construire librement, qu’importe ce que les gens pourraient dire sur lui. Il avouait bien volontiers que cette année là, il se concentra plus à son art qu’au cours qu’il suivait toujours mais pour lesquels il travaillait pratiquement plus, préférant jouer des morceaux qu’il composait lui-même pour bercer son enfant qui semblait apprécier le son particulier du piano. Peut être que plus tard, il allait avoir envie d’y jouer ? Dong Wook se ferait alors une grande joie de le faire.

L’année suivante, grâce au soutien et à la persévérance de sa mère, il prit son courage à deux mains pour se rendre à l’audition à laquelle il avait fini par abandonner l’idée d’y aller car cela revenait à laisser derrière lui, son fils et son âme de père ne pouvait pas le supporter. Cependant pour faire plaisir à sa génitrice qui souhaitait plus que tout le voir reprendre le contrôle de sa vie, il s’y rendit et décida de jouer de nouveau le morceau qu’il avait composé pour Sun Hee, comme si l’année qui venait de s'écouler n’avait jamais exister et que son amie était encore vivante. Peut être que l’émotion qu’il ressentait à ce moment se fit résonner dans sa voix et sa façon de jouer, montrant à quel point le jeune homme cachait des talents encore inexploités mais une chose qui fut sure c’était que cette université l’acceptait en son sein. Il était enfin acceptée à la K.U.A, chose qui aurait du lui faire énormément plaisir et qui dans le fond le rendait heureux, si ce n’est qu’il allait devoir quitter le cocoon familial, laissé son fils derrière lui comme un parfait être égoïste, comme Ho Young l’avait fait avec toute cette histoire…C’était ce qui le rendait plus malade.

Pendant de longs jours après avoir reçu la lettre d’acceptation et le dossier d’inscription, il était déterminé à ne pas s’y inscrire malgré les observations des parents de la jeune fille et des siens qui ne cessaient de lui dire qu’il ne devait pas rater une occasion pareille de reprendre une vie normale, qu’en tant que grands parents, ils s’occuperaient de l’enfant avec autant de soin que lui-même lui prodiguait. Se laissant peu à peu attendrir par les arguments de cette famille si compréhensible, qui lui promettait de lui amener Ki Suk le voir dans la semaine et le week-end, il avait fini par accepter et avait envoyé son dossier pour confirmer son inscription. Désormais dans quelques heures, il allait être étudiant en musique à la K.U.A, dès lors qu’il quitterait cette demeure et cet enfant qui était désormais l’élément moteur de sa vie…Pour qui il souhaitait réussir sa vie, sa carrière afin de lui promettre une vie sans embuche et remplie de joie.

Que dire, que dire.... ? Ah oui je me présente je m'appelle anonymous, j'ai 99 ans et j'ai toute mes dents...Non plus sérieusement je m'appelle....., j'ai 23 ans - oui je suis vieille -, j'ai encore toute mes dents et cela va faire bientôt deux ans que je rp comme une malade et que j'aime ça ♥. Je suis enchantée de faire votre connaissance et j'espère que vous prendrez bien soin de moi /PORTE/.
Je remplis ma fiche et le code du règlement aussitôt que possible. I love you ♥

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