Je ne comprends pas vraiment ce qui se passe pour l’instant. Je sais que je suis en train de déguster le cou de quelqu’un. Goutant à sa peau sucrée comme celle que j’avais toujours imaginée. Ta peau est chaude, Chullie. Tu sais, elle m’enivre énormément. … Elle me rends dingue par moment. Je m’assois sur ton bassin, venant effleurer tes lèvres des miennes tout en déposant mes mains sur tes poignets pour les relever au dessus de ta tête. … Chul, tu sais que même bourrer, j’ai le cœur brisé Chul, tu sais… j’ai besoin de toi pour me changer les idées. C’est alors que je ferme mes paupières, forçant de ma langue, tes douces et onctueuses lèvres pour aller rejoindre la tienne. Laissant ainsi celles – ci nous faire un ballet endiablés. Laissant ainsi ce baiser devenir de plus en plus passionné, alors que je m’imagine pourtant clairement avec lui. … Chul, pourquoi on en est arrivé la… je comprends plus trop pourquoi…

{Flash – back}

- Mais allez, bois Dongie ! … Si tu veux l’oublier, bois encore un verre, ca ira mieux, je te le promets.

Je réprimais mon sourire, et te regardait. Frustré, j’ai tout de même accepté, et à chaque fois que je finissais mon verre, tu trouvais le moyen de le remplir des que j’en avais le dos tourné. Je sais que pourtant, ce soir, on fait la fête… Pourquoi, je ne sais plus vraiment… Mais, toi, tu as l’air de t’amuser… et moi, je m’amuse à finir mon verre avec empressement aussi.

{Fin}

C’est alors que je glisse mes mains sur ton corps, descendant mes baisers sur ton torse qui se soulevait au rythme de ta respiration. Je te sens frissonné… mais je ne saurais dire de quoi… De plaisir ? … De peur ?... Dis – moi, Chullie… Ai – je vraiment le droit de te faire ce que je fais. Tu sais qu’au fond, je suis autant attiré par les garçons que par les filles aussi. Pourquoi tu m’as fais boire… Serais – tu maso… ou voulais – tu vraiment le faire avec moi ? … Je soulève doucement ton haut, venant embrasser ta peau du bout de mes lèvres avant d’aller taquiner tes endroits sensibles, relevant doucement la tête pour ensuite te voir te cambrer, et voir également doucement ta tête penché vers l’arrière. Chullie… aimerais – tu ce que je te fais… Je ne comprends pas. Deviendrais – tu accro aux jeux de séduction d’un garçon ? … Est – ce que tout le monde passe leurs temps à me cacher des secrets … ? D’abord Wookie, ensuite toi. Bon sang, je déteste ca et pourtant, je te souris lorsque je t’aperçois… Par moment, je me demande même ce que j’ai fais pour en arriver la…

{Flash – back}

… Dis, Chullie… pourquoi je ferme doucement les paupières avant de t’apercevoir. Pourquoi j’ai subitement l’envie irrésistible de t’embrasser, d’autant plus que je te trouve mignon. Chullie… repousse – moi. Ne me laisse pas tomber dans mon propre piège. Je sais que si je t’approche, je vais m’y bruler les ailes. C’est ce que je fais, Chullie… j’avance jusqu'à ta hauteur. Tu es aussi saoul que moi… on a l’air fin bien comme ca, Chul Hei. Deux alcolo'… dont moi qui soudainement, viens t’enrouler la taille de mon bras. Je soupire nerveusement … pour ensuite, enfuir ma tête contre ton cou. Chul… pourquoi ton odeur me fait perdre la tête. Chul… pourquoi mes mains caressent ton dos et désirer aller se réfugier sous ton haut… Je ne comprends plus ce qui se passe… Chul… je pars en live. Mes sens sont comme devenu fou. J’ai l’impression que la terre tourne, et lentement, on s’écroule sur mon lit. Chul… J’ai mal au cœur… soit à cause de ce que j’ai bu ou du fait que ce n’est pas Wookie dans mes bras, mais toi. Chul… Repousse – moi… tant que tu le peux.

{Fin}

C’est alors que je me redresse dans l’unique but de retirer mon tee – shirt pour ensuite venir faire pareil avec le tien, revenant t’embrasser dans le cou, dégustant ta peau doucement, avec malgré tout ces yeux brouiller par mes larmes. J’ai envie de pleurer Chul, je me retiens… Parce que j’ai l’impression de jouer avec le feu. Parce que j’ai l’impression de l’avoir en dessous de moi et qu’au fur et à mesure que je parcours ta peau de mes lèvres, qu’il va s’évaporé en fumée. Dis – moi, Chullie, est – ce que je rêve ? … Pourquoi a – t – il fallu que je tombe amoureux de lui ? Pourquoi maintenant, j’ai si mal au cœur depuis qu’il n’est plus la, depuis qu’il s’en fiche totalement de moi. J’ai le cœur en miette, Chullie… je n’aime pas ca… j’ai besoin de prendre des vacances et de faire comme si il n’existait plus… tu veux bien m’aider, dis – moi. Puisqu’il compte tirer un trait sur moi, Chul… crois – tu qu’avec toi… j’aurais une chance de l’oublier ne serait – ce qu’une nuit. C’est alors que je déplace mes baisers jusqu'à tes lèvres, les dévorant d’une extrême douceur… d’une extrême lenteur pour que tu t’habitues à elle, ou plutôt a moi. Laissant cette main libre comparé a l’autre qui me servait d’appuie, découvrir ton torse du bout des doigts… jusqu'à titiller l’élastique de ton boxer qui dépasse de ton jeans. Chul ?... M’autorises – tu à aller plus loin...Chul… Puis – je vraiment m’amuser avec toi comme je le fais avec n’importe qui depuis des jours…

- Chul… réponds – moi… …J’ai le droit, n’est – ce pas… de m’amuser avec toi ?

Murmurais – je subitement à ton oreille, mordillant ton lobe, cette fois – ci avec envie…

Dis – moi Chullie, pourquoi je frissonne. Pourquoi mon cœur s’emballe alors que je m’apprête à faire des bêtises avec la mauvaise personne. Aurait – il peur que cette personne que j’aime déboule dans la chambre pour me faire gouter à l’engueulade du siècle ? Quoi qu’au fond, je n’ai plus à m’inquiéter puisqu’il me déteste et qu’il m’ignore. Je n’ai plus à m’inquiéter aussi de son sort. Dis – moi Chullie… Tu as déjà eu la sensation d’avoir un trou a la place du cœur et malgré les actes débiles ou sérieux que tu commets, ce trou ne sera jamais complètement comblé sauf si la personne en question t’aide à le refermer. Chullie… je te sens frissonner sous mes baisers et je comprends que bien trop tard que tu apprécies aussi ce que je te fais. Chullie, j’ai l’impression de faire une énorme bêtise… Et que je vais avoir beaucoup de mal a me redresser… Chullie… je vais sombrer… J’hésite à pleurer ou me laisser succomber par mes envies primaires… Chullie… Je suis vraiment un imbécile finit ! Je te laisse m’agripper les épaules, prolongeant ainsi intimement mon baiser avec toi.

{Flash – black}

Chullie, combien de temps vas – tu encore tenir ainsi ? Combien de temps on va se voiler le regard. Je ferais mieux de laisser tomber maintenant avant que tout devienne incontrôlable. Mais trop tard, n’est – ce pas ? Chullie, depuis que tu me sers des verres, je ne me contrôle de moins en moins. … Chullie, je sombre lentement vers l’irrécupérable. Il va de plus en plus me haïr, tu crois ? Chullie. Je soupire et colle mon visage contre son épaule, passant un mouchoir sur mes joues. … Le fautif, pourquoi le désigne – t – on du doigt, alors que le vrai coupable, c’est moi. J’ai tout fais pour ruiner ma chance d’être avec lui, et a l’heure qu’il est, j’aggrave encore mon cas. Je le sais, Chul Hei… Je suis un abruti… un homme qui en aime un autre, mais cet autre… dieu sait si il m’aime ou pas… Je les vois tes bouteilles, Chul Hei... et je ne me fais pas prier surtout quand il s’agit de vidé la première…

{Fin}

Je t’entends gémir et je dois bien l’avouer que malgré tout, je trouve encore la force de sourire. Après tout, tu es mon meilleur ami… Je t’apprécie énormément mais pas autant que ce que je ressens pour lui…Je te sens pourtant frissonner de plus belle alors que je m’amuse comme un enfant à éveiller tes sens. Je continue à me délecter de te voir soulever ton torse au fur et a mesure que mes lèvres découvrent ta peau. Puis, je sens tes mains venir s’attarder sur mon visage pour venir capturer mes lèvres grâce aux tiennes. J’en ai le souffle coupé Chul… J’ai chaud… tellement chaud… Même torse – nu, j’ai l’impression de bruler, de plus que ma tête tourne horriblement…

{Flashback}

Tu ne rêves pas, Chullie. Je sais juste que j’ai envie de te prendre dans mes bras… je sais juste que j’ai besoin de te sentir contre moi. Je sais juste que j’ai besoin de combler ce manque dans mon cœur... Et que malgré que je m’amuse avec d’autre personne, avec toi, ce n’est pas pareil. Ça pourrait me faire ressentir quelque chose, mais je suis persuadé que si c’était Wookie a ta place, ca serait beaucoup plus pire… Mes sens seraient réveiller jusqu'à leurs maximum, hors, la, ils ne le sont qu’a moitié. Je sais que tu m’enlaces, Chullie, je sais qu’il est bien trop tard désormais pour que je fasse marche arrière. C’est comme un refrain qui ne s’arrête jamais. Même saoul, je sais qu’une fois de plus, je vais commettre une bêtise…Et je sais qu’aussi que les assumer, je vais prendre du temps, ainsi qu’également, je sais que j’vais en prendre pour mon grade…

{Fin}

Je frissonne lorsque tu parcours mon torse de tes doigts. Je me mordille doucement la lèvre inférieur en sentant tes doigts surtout sur ma peau. Je souris en sentant ton bassin se soulever sous mes doigts qui s’amuse a venir s’amuser avec l’élastique de ton boxer pour finalement déboutonner ton jeans et par la suite, prendre le temps d’abaisser ta tirette. Effleurer ne serait – ce que quelque secondes ton entrejambe. Alors que durant les mêmes instants, je sens tes lèvres capturé les miennes. J’en frissonne jusqu'à gémir malgré moi contre tes lèvres. J’en rougirais presque. Je te laisse mes lèvres avec plaisir, tout en me sentant partir sur le côté et finalement, me voir être allongé sur le dos, face à ton corps qui se retrouve au dessus du mien. Je frissonne, Chullie, lorsque tu te permets d’embrasser mon visage. J’en rougis, tu sais, malgré tout, je trouve même encore la force de gémir sous tout ce que tu me fais ressentir. Je m’agrippe à toi, penchant ma tête vers l’arrière avant de passer ma langue sur ma lèvre inférieur. Fermant les paupières pour ensuite gémir d’un air beaucoup … excitant que la première fois. Je gémis tellement fort que j’en brule déjà d’envie… Chullie… pourquoi j’ai si chaud… a cause de toi… a cause de moi… pourquoi je me consume dans ma propre folie…. Aide – moi…

{Flashback}

Tu sais, ce soir, si j’ai dérapé, c’est de ma faute. Je voulais boire, je voulais l’oublier. Je te l’ai dis, Chullie… Moi et l’alcool, on n’est pas toujours amis. Au début, j’ai pleuré dans tes bras Chullie, mais comme on est saoul, tu ne t’en souviens sans doute pas. Je m’étais accroché désespérément à ton corps, au début. Révélant cette part d’humanité au creux de tes bras. Chullie, sais – tu que parfois, j’ai l’impression d’être un monstre et que je m’amuse à lui faire du mal, dans l’unique but qu’il ne me vole pas mon cœur. Chullie, est – ce que je suis normal ? Rassure-moi ? … Ou suis – je simplement stupide parce que je l’aime… Je sais plus ou j’en suis Chullie… j’ai l’impression d’être perdu… sans lui… et si je ne t’avais pas toi, je crois que je l’aurais été encore plus….

{Fin}

Tu sais, Chullie, j’ai du mal à me remettre de sa disparition si brutale dans ma vie. C’est pour ca que je réponds à chacun de tes gestes, que je m’abandonne dans les bras d’un autre. C’est pour ca aussi que je gémis sous tes gestes tellement exaltants. Je me cambre tout de même, si facilement sous tes caresses si habiles que tes mains me procurent. Mes joues en rougissent assez vite, alors que soudainement, je meurtris ma lèvre inférieure…

- Ne… ne t’arrête pas…

Me surprenais – je à dire…Fermant doucement les paupières avant de pencher la tête vers l’arrière.

{Flashback}

J’ai tellement besoin de me changer les idées que les verres s’accumulent sous tes yeux et sous les miens. Je finis par en rire que toutes tes bouteilles sont vides. Je me sentais plus léger parce que finalement, étant saoul, je ne pensais plus a ma peine. Je voulais juste m’amuser… et oublier cette incident qui m’a littéralement brisé le cœur au point même de presque le tuer…

{Fin}

J’ai l’impression que demain, le réveil risque d’être prometteur. Tu ne vas certainement peut – être plus savoir t’assoir ni bouger… et au contraire, tu risques sans doute de t’éloigner de moi, et c’est ce qui fera que je m’enfermerais d’avantage sur moi – même. Pourtant, je te laisse de la place pour que tu puisses m’arracher des frissons, des gémissements en te laissant mordiller mon cou…

{Flashback}

Pourquoi je ne sais pas te dire non, Chullie, pourquoi je te retiens lorsque tu as envies de rentrer chez toi. Pourquoi je te propose également de dormir avec moi. Je suis tellement saoul que je ne remarque même pas que tout ce que je retiens en moi est sur le point d’exploser. J’ai envie de pleurer… de mettre cette rage, cette colère mais également cette peine dans ce que je sais faire de mieux. Profiter du corps des autres. Chullie… pourquoi je t’embrasse si soudainement…

{Fin}

Je m’abandonnais a tes lèvres, caressant du bout des ongles, la peau de ta nuque après avoir laissé quelques minutes se qui fait de toi, un homme assez irrésistible, en soi. La preuve, je viens de succomber entre tes bras. Je gémis d’avantage lorsque je sens ma tête partir vers l’arrière alors que tu malmènes mes points sensibles. Lentement, je glisses mes mains jusqu'à l’arrière de ton slim, glissant mes mains dans les poches arrière, venant manger ton cou a coups de morsures pas vraiment douloureuses, juste pour te laisser quelques marques de propriété, et ensuite, y re-gouter en laissant ma langue si « libertine » s’aventurer sur celles – ci. Avant que je ne revienne taquiner ton bas – ventre tout en soutenant ton regard. Venant également, poser mes lèvres contre ta mâchoire, me rendant compte que tu n’étais pas le seul a montré physiquement que cet instant te plaisait. Je remarquais que mon boxer se fit plus étroit et que j’avais presque plus assez de place, comme si il était subitement devenu trop petit.

- J’ai chaud… Chullie… Je brule… tellement…

Murmurais – je d’une voix suave à ton oreille, en profitant pour mordiller ta lèvre inférieure, et venir agripper tes cheveux derrière ta tête, de ma main libre, revenant prendre place au dessus de toi. Mordillant ta peau sans retenu, d’un air sauvage mais contrôler. Pour ensuite retirer ma propre ceinture tout en gardant un œil sur toi…

{Flashback}

Demain, Chullie, tu ne me reverras pas avant je ne sais combien de jours. Demain, Chullie, ca sera un adieu temporaire. Demain, Chullie, je m’effondrais bien plus en larmes en voyant les dégâts que je commets. Demain, Chullie… Je prendrais une fois de plus conscience que je commets toujours autant de bêtises. Demain, Chullie. Je t’annoncerais que tu ferais mieux de m’oublier, toi aussi. Demain, Chullie, tu me haïrais… toi aussi. Demain, Chullie… Tu disparaitras sans doute, toi aussi, de ma vie… tout comme il l’a fait pour moi, lui aussi.

Adieu… Mon meilleur ami…

{Fin}